Après un premier album retentissant, les KTB nous reviennent sans chanteur avec un album qui flaire l’arnaque. Le premier morceau est fantastique. Un riff à couper le souffle qui tourne et qui tourne encore entre les oreilles. De la seconde à la huitième plage, l’ennui nous guette comme un dimanche de pluie passé à écosser des petits pois. Une instrumentation plus basique que le premier album, nettement moins variée du point de vue de la recherche sonore, nous laisse quelque peu sur notre faim. Curieusement, l’étincelle attendue ne nous parvient que sur les quatre titres qui clôturent l’album. Sauf qu’il s’agit, maquillés sous un autre nom, de quatre morceaux qui figuraient déjà sur l’album précédent. Ce n’est réellement qu’à ce moment là que l’album décolle véritablement. Mais bon, c’est un peu cher pour des morceaux que l’on connaissait déjà. Non ?
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