Ça commence très fort. Ça saute à la gueule. On nage en plein QOTSA, « R ». Plutôt agréable étant donné que ce sont a priori les premiers à s’inscrire dans cette veine. On verra ce qu’il en sera dans quelques années quand, de partout, des clones du groupe de Nick Oliveri occuperont le terrain. On en est pas là. Heureusement. A mesure que l’album égrène ses cinq morceaux, nos australiens s’éloignent de l’influence des ricains. Ils s’affirment même dans une sorte de power pop plombée et nerveuse d’excellente facture. Certains passages évoquent Compulsion. C’est bien ficelé, agréable à écouter, mais comme la majorité des trucs de pop sucrée, passé quelques écoutes exaltées, on se lasse assez rapidement. Dommage. Vite un autre disque.
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