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Honky – Balls Out Inn


Alors là... Avant de recevoir ce skeud, jamais je n'avais entendu parler de ce combo. Mais le fait qu'ils sortent sur l'un des labels les plus excitants de toute l'Amérique du Nord pousse forcément à la curiosité...

Et bien je suis bluffé. Bluffé parce que même si le groupe est aux antipodes du stoner pur jus que propose généralement cet excellent label, Small Stone arrive à maintenir un niveau de qualité remarquable, et se positionne non plus comme un"stoner", mais un label de groupes. Des groupes excitants, tout simplement, au même titre qu'un Five Horse Johnson, un Puny Human, un Dixie Witch ou un Erik Larson. Comme ces derniers groupes, Honky se positionne avant tout par son talent, mais aussi son style très lié à son enracinement géographique.

Car Honky est texan. Et ça ne se voit pas qu'à la pochette du skeud ou au nom de l'album, naïvement groivois : dès les premiers accords de guitare, ça ne fait plus l'ombre d'un doute. Slide à la Raging Slab ("Broken days and endless nights"), choeurs à la Allman Brothers ou Lynyrd Skynyrd ("Love to smoke your weed"), gratte poisseuse mais incisive à la Billy Gibbons / ZZ Top ("Undertaker"), tous les ingrédients sont là, sans jamais être plagiaires.

C'est donc bien du stoner sudiste qui nous rince les esgourdes, sans hésitation possible. Un peu comme les collègues de Dixie Witch, mais encore plus... "texan", si tant est que l'on puisse l'être plus encore !

Alors là… Avant de recevoir ce skeud, jamais je n’avais entendu parler de ce combo. Mais le fait qu’ils sortent sur l’un des labels les plus excitants de toute l’Amérique du Nord pousse forcément à la curiosité…

Et bien je suis bluffé. Bluffé parce que même si le groupe est aux antipodes du stoner pur jus que propose généralement cet excellent label, Small Stone arrive à maintenir un niveau de qualité remarquable, et se positionne non plus comme un label “stoner”, mais un label de groupes. Des groupes excitants, tout simplement, au même titre qu’un Five Horse Johnson, un Puny Human, un Dixie Witch ou un Erik Larson. Comme ces derniers groupes, Honky se positionne avant tout par son talent, mais aussi son style très lié à son enracinement géographique.

Car Honky est texan. Et ça ne se voit pas qu’à la pochette du skeud ou au nom de l’album, naïvement groivois : dès les premiers accords de guitare, ça ne fait plus l’ombre d’un doute. Slide à la Raging Slab (“Broken days and endless nights”), choeurs à la Allman Brothers ou Lynyrd Skynyrd (“Love to smoke your weed”), gratte poisseuse mais incisive à la Billy Gibbons / ZZ Top (“Undertaker”), tous les ingrédients sont là, sans jamais être plagiaires.

C’est donc bien du stoner sudiste qui nous rince les esgourdes, sans hésitation possible. Un peu comme les collègues de Dixie Witch, mais encore plus… “texan”, si tant est que l’on puisse l’être plus encore !

Honky est un petit joyau dans l’univers trop morne, depuis ce nouveau millénaire, du rock sudiste. Ses travers résolument stoner ne le rendent que plus excitant.

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