C’est sous la houlette de Jack Endino que la formation bâloise s’est retrouvée au Soundhouse-Studios de Seattle pour enregistrer son troisième long format, le second sous ce nom vu les problèmes liés à leur ancien patronyme – . Le trio reprend les choses là où il les avait laissées avec ‘Lust In Translation’ et ceux d’entre vous qui avaient kiffé sur leur précédent effort ne devraient pas être désorienté par celui-ci car, outre le gentillet ‘Dance Without Sound’, les titres sont du même tonneau : guitares incisives, rythmiques carrées et vocaux clairs. Un bon mix de punk’n’roll et de hard estampillé seventies à la frontière des univers musicaux des Hellacopters et de Monster Magnet. Rien de bien nouveau soleil, mais une formule efficace rudement bien envoyée. Bravo !
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