Honcho a beau évoluer en terrain connu et balisé (le gros rock heavy stoner metal qui tache made in Scandinavie), les cinq Norvégiens tirent leur épingle du jeu grâce à leur talent, leur attitude, et leur originalité Ils méritent clairement
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Honcho a beau évoluer en terrain connu et balisé (le gros rock heavy stoner metal qui tache made in Scandinavie), les cinq Norvégiens tirent leur épingle du jeu grâce à leur talent, leur attitude, et leur originalité Ils méritent clairement AC/DC, Rose Tattoo, Silverchair Hum, les grands groupes australiens sont rares. Et si le prochain était Rollerball ? Un outsider, un vrai, plus que prometteur, et en tout cas plus que méritant Interview de Dave Talon, leur guitariste, à l’occasion Encore un groupe en provenance des nordiques et prolifiques contrées suédoises, The Awesome Machine est un quatuor encore peu (re)connu, et pourtant au potentiel énorme. Compositeurs et musiciens émérites, ils se démarquent d’un traditionnel stoner rock auquel ils ont trop Il en a fallu peu pour piquer notre curiosité La vague rumeur d’un projet qui traînait dans l’air, appelé “Desert Orchestra” à l’époque, regroupant quelques noms mythiques : Pete Stahl, Mario Lalli, Alfredo Hernandez, entre autres, et cet inconnu, Dandy On en viendrait à se lasser Tous ces groupes scandinaves, tous aussi brillants les uns que les autres, dans des genres différents mais prêchant tous à la même paroisse : celle du Rock, hard de préférence, crasseux et heavy si Scott Reeder n’est pas seulement un bassiste d’exception sans hésitation l’un des plus doués de sa génération il est aussi un bonhomme d’une humanité rare, comme on n’en rencontre plus vraiment beaucoup dans le “music business” ! Modeste, Low Vibes. Ce nom renvoie l’image d’un animal à sang froid, dont les fréquences cardiaques seraient particulièrement basses. Un peu comme un anaconda du Venezuela retranché au fond d’un marigot que l’Orénoque aurait fini d’abreuver, pour digérer paisiblement le cochon Ah les petits gars d’Ufomammut ! Je ne voudrais pas refaire ici l’éloge de leur fantastique premier album et de leur travail graphique au sein de Malleus. Seulement je ne peux pas m’empêcher de dire du bien de mecs qui, Mais qui est Otis ? Ceux qui ont vu le film “Henry. Portrait of a Serial Killer” se souviendront du sinistre acolyte de ce dernier : Otis. Une ordure de premier plan. Veule, fruste, entièrement sous l’emprise d’Henry, son « |
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