L’éloge de la lenteur.
Ou le credo porté par Earth depuis tellement moult déjà. Est-il besoin de revenir sur l’histoire du groupe, sur son parcours opiacé, croisé de Cobain, père spirituel de Sunn O))), … [lire la suite]
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Résultats de votre recherche. Diantre! Déjà 2008 et je ne vous ai toujours pas parlé du dernier de mes 4 albums de l’année qui vient à peine de s’écouler (un roudoudou à celui qui trouve les 3 autres, entre 20 chroniques … [lire la suite] Ouch ! Voilà quatre ricains manifestement très remontés qui semblent extérioriser la somme de leur désespoir sur un disque à la tonalité réellement tragique. Mise en scène particulièrement efficace de la rage qui les ronge, la musique … [lire la suite] Revoilà les japonais de Church of Misery. Toujours aussi fascinés par les serial-killer. Quatre titres sur six leurs sont consacrés. Passons. Hormis cette fascination morbide, la musique de ces maniaques est d’une efficacité redoutable. Toujours plus heavy, … [lire la suite] Qu’écrire de neuf à propos de Sunn 0))) ? Surtout lorsqu’il s’agit d’une réédition d’un disque publié courant 1999 à 700 exemplaires, collector introuvable, du maléfique duo Anderson/O’Malley, entièrement inspiré par l’œuvre de Earth, autre duo ayant … [lire la suite] pfff, bientôt 5 ans d’attente, depuis la sortie de “Flower of disease” chez Man’s Ruin… c’est pas humain ! Goatsnake est vraiment un groupe à part sur la scène stoner, assurément un chef de file, mais ils … [lire la suite] L’homo sapiens est à n’en point douter un mammifère étonnant. Un exemple parmi d’autres. Equipez-le d’une guitare, d’un banjo, d’un slide, d’une grosse caisse et de cordes vocales. Et voilà qu’avec un peu de talent, ce même … [lire la suite] Bien que la tendance chez Southern Lord soit à sortir toute une série d’albums d’obscurs combos death-métalleux qu’on préférera poliment éviter, Greg Anderson n’en oublie pas pour autant ses vieux potes du Maryland. A y regarder de … [lire la suite] Sous le prénom de Boris se cachent trois japonais complètement barges et une jolie fable contemporaine. Pour nous la raconter, Boris s’est fendu d’un morceau de soixante-cinq minutes qui a donné son nom à l’album, puis d’un … [lire la suite] Que pouvait bien nous réserver le Pelican 2009 ?Après un magistral « City of echoes », le quatuor nous revient avec « What We All Come To Need », son quatrième véritable album. Tout d’abord, et comme … [lire la suite] Ça y est, Victor Griffin confirme définitivement son retour. Pour ce second album, il s’est acoquiné avec rien moins que Wino, monstre sacré du stoner doom (qui est hélas déjà reparti). Donc pas un, mais deux guitar … [lire la suite] Ça commence avec une petite ritournelle tristounette de rien du tout. Dès le deuxième morceau on se dit qu’elle représentait l’antichambre de l’enfer. On est tout de suite stupéfié par la massivité du son qui se trouve … [lire la suite] Que les choses soient claires. Toadliquor n’existe plus. Sur un modèle identique au « Turbulent times » de Grief, l’excellent label Southern Lord Records nous sert ici une compilation reprenant l’essentiel de la production de ce groupe … [lire la suite] Burning Witch est une pièce de l’histoire de la musique. L’équivalent doom de Kyuss. Non pas qu’il furent les instigateurs du genre (encore que… d’un certain type de massacre sonore, si) mais furent aussi peu adulés que … [lire la suite] S’il y a des valeurs sûres dans le stoner, Wino les écrase toutes. S’il y a des icônes parmi les musiciens attachés au genre, il les balaie tous d’un revers de main. Le père Weinreich déboule donc avec … [lire la suite] |
 
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