La playlist de Mai 2020

Comme chaque début de mois, voici notre playlist des sorties du mois précédent, une sorte de “best of” constitué de notre chanson préférée de chacun des albums que nous avons chroniqués pour vous ce mois-ci (via Bandcamp – la seule plateforme un tant soit peu rémunératrice pour les artistes).

Si vous aimez ce que vous entendez, cliquez sur le titre de la chanson dans le player pour aller écouter le reste de l’album dans Bandcamp directement… N’hésitez pas alors à lâcher quelques euros pour soutenir les artistes en achetant leur album !

Si vous les avez ratées, on vous met aussi les liens vers les chroniques de chaque album en bas de page.

 

 

 

Voici les chroniques complètes de toutes les sorties du mois sur Desert-Rock :

– Mountain Witch – Extincts cults

– Geezer – Groovy

– Arrakis – Technontology Vol. I

– Black Rainbows – Cosmic Ritual Supertrip

– Witchfinder – Hazy rites

– Kanaan – Double Sun (pas de Bandcamp)

– Forming The Void — Reverie

– Patrón – Patrón

– Supernaughty – Temple

– Dopelord – Sign Of The Devil

– Witchcraft – Black metal (pas de Bandcamp)

La playlist d’avril 2020 par Desert-Rock

Voici le retour de notre play list : une sorte de “best of” du mois, à travers notre chanson préférée de chacun des albums que nous avons chroniqués pour vous ce mois-ci (via Bandcamp – la seule plateforme un tant soit peu rémunératrice pour les artistes).

Si vous aimez ce que vous entendez, cliquez sur le titre de la chanson dans le player pour aller écouter le reste de l’album dans Bandcamp directement… N’hésitez pas alors à lâcher quelques euros pour soutenir les artistes en achetant leur album !

Si vous les avez ratées, on vous met aussi les liens vers les chroniques de chaque album en bas de page.

Enjoy !

 

Les chroniques sur le site :

• Gaupa – Feberdrom

• Various Artists – Women Of Doom

• Soldati – Doom Nacional

• Elder – Omens

• 1000mods – Youth Of Dissent

• Elephant Tree – Habits

• Lord Fowl – Glorious Babylon

• Sigiriya- Maiden Mother Crone

• Siena Root – The Secret Of Our Time (pas de bandcamp)

• Datura4 – West Coast Highway Cosmic (pas de bandcamp)

• Camel Driver – \ /

• Howard – Obstacle

• Smoke Mountain – Queen of Sin

• Dirt Woman – The Glass Cliff

La playlist de Mars 2020 par Desert-Rock

Nouveauté : pour vous aider à vous y retrouver dans la jungle des sorties d’albums, tous les mois on va essayer de vous faire un récapitulatif en mode playlist des sorties chroniquées sur Desert-Rock !

Vous pouvez donc écouter notre titre favori de chaque album chroniqué ci-dessous, et si vous kiffez, cliquez sur le titre de la chanson dans le player pour aller écouter le reste de l’album dans Bandcamp directement… et si vous aimez, n’hésitez pas à lâcher quelques euros pour soutenir les artistes en achetant leur album !
(et pas la peine de nous demander de faire des playslists sur d’autres plateformes, notre religion nous l’interdit…)

On vous a aussi mis les liens vers les chroniques en bas, vous aurez ainsi plus d’infos !

 

 

Les chroniques sur le site :

• Bible Black Tyrant – Encased in Iron

• Candlemass – The Pendulum (EP)

• Caskets Open – Concrete Realms of Pain

• Cycle – Cosmic Clouds (pas de Bandcamp désolés)

• Demonic Death Judge – The Trail

• Diarchy – Splitfire

• Villagers Of Ioannina City – Age Of Aquarius

• Hayvanlar Alemi – Psychedelia in Times of Turbulence

• King Buffalo – Dead Star

• Lucifer – III (pas de Bandcamp désolés)

• Slift – Ummon

• The Heavy Eyes – Love Like Machines

2 commentaires 
  • Laurent (6 avril 2020 à 18 h 58 min)

    Salut Vincent ! Merci pour ta fidélité, ça ne nous rajeunit pas à nous nous plus…

  • vincent (6 avril 2020 à 15 h 56 min)

    Salut l’équipe, merci !

    salutations d’un gars qui a découvert ce site et cette musique d’une oreille hallucinée, vers ses 16 ans, il y a environ 16 ans ! C’est avec vous que j’ai découvert tous mes groupes préférés de stoner (ou de rock tout court) 🙂

Freak Valley festival 2020 : les 10 groupes à ne pas manquer

Du 11 au 13 juin prochain, tout le gratin du stoner va se retrouver non loin de Cologne pour la traditionnelle sauterie du Freak valley festival, neuvième du nom. 2 scènes, aucun groupe qui se chevauche, vous avez une trentaine de groupes en 3 jours et vous pouvez tous les voir, pas besoin de s’arracher les cheveux pour organiser votre journée… L’intégralité de la programmation n’est pas encore connue (il manque près de la moitié des noms, l’orga prenant un malin plaisir à nous faire trépigner d’impatience), les billets se sont arrachés en moins de 30 minutes en octobre dernier et les plus chanceux d’entre nous pourront se régaler d’une belle programmation éclectique :

 


Fu Manchu

Parce que les légendes sont éternelles et qu’après Brant Bjork l’an passé, on continue de rayer des noms sur notre liste « à voir avant de mourir d’un virus chinois ou d’autre chose »…

 

 

Elder

Parce que ce sont 5 lettres mythiques dans le petit microcosme du stoner… Elder, ou la garantie d’un moment grandiose et unique. La preuve: lors de leur dernier passage au Freak valley en 2016, le groupe avait joué… l’intégralité de leur album “Lore”…

 

Witchcraft

Parce que chaque sortie de l’énigmatique Magnus Pelander est toujours un événement, et qu’un nouvel album (“Black Metal”) est attendu dans les prochains mois…

Pelican

Parce que le post-metal mérite sa place dans la fratrie stoner et qu’on a hâte de frissonner devant les barrières, surtout quand le quatuor américain nous pond une galette de la trempe de Nighttime stories…

Stoned Jesus

Parce que les ukrainiens sont des bêtes de scène confirmées… Et puis entendre à nouveau “I’m the mountain” en live fait saliver d’avance… [ndlr : une partie de la rédaction de Desert-Rock se désengage fermement de ce dernier postulat]

Pontiak

Parce que le look du trio (savant mélange entre Di Caprio période “The revenant” et la pilosité exubérante des Kadavar) interpelle presque autant que leur blues psychédélique planant.

Elephant Tree

Parce qu’on attend avec impatience le moment où nos nuques vont se dévisser et nos chaussettes vont descendre toutes seules dès que le groupe va entonner “Aphotic blues”…

The Neptune Power Federation

Parce que le look déjanté de la frontwoman nous intrigue… Et qu’on adore quand c’est une demoiselle derrière le micro, çà nous change des barbus ! Assurément, l’ovni de cette programmation.

 

Monomyth

Parce que l’album Orbis quadrantis contient assez d’envolées lysergiques pour nous faire planer pendant au moins 3 jours !

We Hunt Buffalo

Parce que, malgré cette mode assez chiante qui consiste à bouffer des choses qui poussent dans la terre, l’idée de chasser le buffle est finalement assez trippante…

 


On espère encore voir de beaux noms accompagner cette affiche déjà alléchante mais on ne se fait aucun souci, le festival allemand ayant toujours eu un goût certain pour sa programmation, entre valeurs sûres et pépites méconnues…

 

Toutes les infos ici sur leur page facebook : https://www.facebook.com/freakvalley/

celle de l’événement facebook associé : https://www.facebook.com/events/2434350453469407/

ou leur site web : http://www.freakvalley.de/

Desertfest Berlin 2020 : les 10 groupes à ne pas manquer

La fête du riff à Berlin constitue pour nous un pèlerinage annuel incontournable et on croise les doigts pour qu’une saleté de virus à base de binouze prisée des hipsters ne nous gâchera pas la teuf ! Ayant savamment pris quelques distances avec le style originel au niveau de la programmation, depuis quelques années déjà, l’événement s’ouvre à un public plus éclectique et permet aux inconditionnels de groupes formatés de se frotter à des sensations nouvelles. L’équilibre stoner originel et styles connexes est dosé dans les mêmes proportions que l’an passé et, si le son demeure aussi qualitatif, le public aussi réceptif et les groupes aussi incisifs, on va se taper trois jours de rêve sur les rives de la Spree.

Parmi la foule de trucs hyper afriolants à voir cette année, mes 10 priorités seront :

10 / Spirit Adrift :
Le goût douteux dont fait preuve ce combo de heavy metal pour choisir l’artwork de ses pochettes lui vaut toute ma sympathie et je suis attisé par la curiosité vu que je ne les ai jamais vu se démener sur scène. Je serai naturellement dans la fosse pour hocher du chef et taper du pied vu le style aussi accessible qu’efficace que pratique cette bande de rockers d’un autre temps. Les plans épiques alliés à une rythmique énorme devrait par ailleurs rameuter du poil dans les premiers rangs et, même si le prix de l’innovation ne leur sera pas décerné, ils devraient se foutre dans la poche plus d’un Germain friand de ce son – très – daté.

 

9 / Pigs Pigs Pigs Pigs Pigs Pigs Pigs :
D’abords il y a le blaze du groupe qui ne peut qu’augurer la subtilité toute en finesse. Ensuite, il y a les plans barrés de ces Britanniques qui lorgnent vers l’urgence punk scotchée sur du gros riff bien heavy qui fleurent bon le revival de la NWOBHM. Finalement il y a la démarche nihiliste de ces quatre garçons dans le brouillard de Newcastle qui ne peut être qu’une claque scénique s’ils ont la bonne idée de nous envoyer « Reducer » l’extraordinaire premier extrait de leur nouveau long format : « Viscerals » qui rejoindra les gondoles de la grande distribution sous peu.

 

8 / Big Business :
ô joie, ces grands malades sont de retour dans les parages et je vais pouvoir m’abrutir sous les coups de boutoir assenés par ces trublions qui évoluent dans le sillage des mythiques Melvins. Grosses pointures d’un genre secoué, mais abordable, ces virtuoses ne croisant pas souvent ma route, je me réjouis d’avance de me frotter à ces vétérans à la discographie impressionnante. La formation a vu se succédé une myriade d’acteurs de la scène indépendante au cours des années pour collaborer à ses projets fous et c’est l’excitation qui m’envahit à la simple pensée de retrouver ces grands malades.

 

7 / Corrosion Of Conformity :
Je vois vos regards perplexes à l’évocation de ce nom dans ma liste des trucs à ne pas louper vu l’omniprésence récente des Américains dans nos contrées ces derniers temps (dans des salles à capacité très variables qui interpellent). N’empêche que plus de trente piges après sa naissance, la bande à Pepper Keenan demeure une sensation énorme sur scène vu la bouteille des lascars et leur bonne inspiration à piocher dans toute leur discographie des brûlots à nous coller dans les oreilles. Cure de jouvence en vue pour les vieux de l’assistance (et croyez-moi il y en a une tripotée qui fréquentent ce festoche et je ne vise personne rassurez-vous).

 

6 / Amenra :
Les Belges n’ont pas grand-chose de stoner dans l’absolu et franchement je m’en tamponne pas mal. Ces gars ont créé une dynamique prodigieuse autour de leur Church Of Ra et ils déploient un spectacle phénoménal lors de leurs prestations scéniques. Glaciaux et organiques leurs concerts confinent au rassemblent de dévots ovationnant la noirceur. N’en déplaise aux porteurs de vestes à franges et futals à pates d’éléphants découpés dans des tapisseries est-allemandes des années septante : ça va faire putain de bien de quitter le fuzz pour s’abrutir durant ces trois jours.

 

5 / Orange Goblin :
Les roastbeefs c’est carrément le risque zéro niveau programmation dans un festival stoner voire même dans un festival tout court (leur prestation au Sylak il y a quelques années devant un parterre de néophytes me l’avait confirmé). Vus et revus à maintes reprises, la troupe du géant Ben Ward a toujours foutu le boulet qu’importe le lieu ou l’heure de leur prestation. Même si niveau surprise ou découverte je vais passer mon chemin, vous pouvez compter sur ma pomme pour prendre un sacré plaisir lors de cet énième set d’Orange Goblin auquel j’aurai le plaisir d’assister car une chose est sûre : ils ne m’ont jamais déçu !

 

4/ The Vintage Caravan :
Je n’ai jamais été fan de ce groupe islandais et ne le serai sans doute jamais. Jadis, ces gamins m’ont fait un putain de plaisir lors de plusieurs shows improbables auxquels j’ai eu le plaisir d’assister. Si leur musique me laisse presque de marbre, l’intensité de leurs shows a à tous les coups fonctionné auprès de ma personne. Ils investissent la scène ainsi que ses alentours proches avec une telle énergie, qu’il serait juste totalement crétin de ne pas radiner sa tronche pour assister à leur concert berlinois d’autant plus qu’en vieillissant (ça n’arrive pas qu’aux autres), ils ont choppé une sacrée maîtrise de leur art sans se distancer de la furie qui les habite sur scène.

 

3 / Witchcraft :
Les stars de la Scandinavie se pointent à Berlin et je me rappelle qu’il y a une poignée d’années ils avaient déclaré forfait lors de ce festival pour une bonne raison dont je ne me souviens plus et avaient été remplacés par Troubled Horse. C’est assez touchant de constater qu’ils ont réussi à durer et seront de retour dans la capitale allemande tant j’avais l’impression que cette formation était confidentielle. Pour me remettre de ma frustration de la deuxième édition de ce festival – selon mes souvenirs – je remuerai deux fois plus de la nuque et vous invite à me rejoindre car Witchcraft en live c’est tout bonnement excellent !

 

2 / Masters Of Reality :
Icône de notre genre de prédilection, la formation de Chris Goss est un mythe et j’interdis formellement de lui opposer le moindre reproche. Son frontman a fait l’histoire du mouvement qui fait que vous me lisez aujourd’hui devant ou derrière la console ; il a participé aux projets les plus enthousiasmant du stoner du temps des fêtes autour des générateurs et les quidams qui seront surpris à l’extérieur de la salle durant ce show seront flagellés, lapidés puis pendus sur le pont du bateau qui abritait la seconde scène l’an dernier. Vous voilà tous avertis : je compte sur votre présence en force pour un groupe dont la discographie est des plus excitante !

 

1 / Lowrider :
Autre icône de notre genre de prédilection, la formation suédoise est aussi un mythe ! A la fois follement excitants et incroyablement fainéants discographiquement parlant, les Scandinaves ont commis jadis des pépites incroyables puis : plus rien ! Nada ! Que dalle ! Ils nous ont toutefois gratifié de performances live nous faisant humidifier nos calbutes durant cette période de disette question production. A chaque fois je me suis pris une claque énorme et à chaque fois il aura fallu du temps pour voir disparaître le sourire niais que j’arborais bêtement aux sorties d’un de leurs sets. Au début de l’année 2020, Lowrider a sorti Le Disque De l’Année et personne ne pourra se glisser à sa hauteur. L’équation est simple : mythe du stoner * bêtes de scène * disque de la décennie = tu loupes le concert, t’as raté ta vie !

 


 

Bonus : Brant Bjork alias Mr Cool sera de nouveau de la partie tout comme les Hellènes de 1000Mods aussi ; les Norvégiens de Motorpsycho interpréteront un show exclusif de 90 minutes à cette occasion !

 

Si vous voulez en savoir un peu plus, allez faire un tour sur le site https://www.desertfest.de et surtout allez régulièrement consulter la page Facebook de cette manifestation hautement culturelle: https://fr-fr.facebook.com/DesertfestBerlin/

 

Motocultor 2020 : les 10 groupes à ne pas manquer…

Une année de plus se profile à l’horizon pour la grand-messe Metôôôl sur quatre jours (13/14/15/16) d’août en terre Bretonne. Le Motocultor a révélé depuis quelques temps la majeure partie de sa programmation, l’occasion pour nous de faire le tour du propriétaire avec l’œil (ou plutôt l’esgourde) du fan de stoner éclectique et tout terrain.

 


Dans la catégorie Stoner de bon aloi:

 

Red Fang

Malgré une actualité un peu en berne, on serait plutôt du genre à courir pour aller honorer les potaches tenants du titre. Un concert de Red Fang, ça ne se refuse pas et les américains devraient allumer le pit sans prendre de gros risques.

 

Orange Goblin

Le géant Ben Ward et sa troupe reviennent fouler les terres françaises dans leur vingt cinquième année d’existence, en voilà une bonne nouvelle ! Rien qu’un groupe comme celui-là mérite bien un billet pour le salon de la motoculture métal

 

Valley Of The Sun

Ils avaient démonté la tente Valley l’an passé au Hellfest. Valley of The Sun vieillit bien et prend en épaisseur, et cette année ils viendront remettre le couvert et nous prouver qu’ils en ont sous le pied!

 


Nominés au meilleur second rôle:

 

Abrahma

Pour qui est habitué de Desert-Rock rien d’étonnant de voir arriver la formation parisienne dans les meilleurs seconds rôles. Avec un début de carrière tout en heavy et en psyche pleinement dans notre ligne éditoriale, nous avions un peu pris nos distances avec la sortie du plus metal (et néanmoins superbe) In Time for the Last Rays of Light. Mais soyons clair, Abrahma a changé, mais pour autant cela reste une valeur sûre, une vraie!

 

Amenra

Voilà un groupe qui régulièrement alimente les critiques de bon nombre de nos chroniqueurs en interne, mais l’univers sombre du groupe et l’introspection qu’il provoque en live pourraientt trouver quelque grâce à nos oreilles le temps d’un live. (Une fois encore)

 

Cult Of Luna

Encore un post-quelque chose qui fait se bouger les foules. Lors de cette édition 2020 il va pouvoir défendre la noirceur de son album encore frais de la fin de l’an passé et faire peser les têtes vers les chaussures dans un beau mouvement collectif.

 

Caspian

Moins bruyant que les deux dernier sus cités, Caspian pourrait être une excellente surprise lors de ce Motocultor, surtout si les américains se gréent d’un saxophone qui pourrait apporter quelques touches floydiennes au set!

 


Enveloppe des sélections confidentielles du jury:

 

Sick Of It All

Loyal au HxC depuis les années 80 les New-Yorkais vont à coup sûr faire cracher quelques dents au pit et attirer les connaisseurs du genre. On en sautille d’avance!

 

Terror

Plus jeunes mais tout aussi classés parmi les patrons de la scène Punk Hardcore, les gars de Terror vont pouvoir démontrer que la côte ouest ce n’est pas que le cool mais aussi la rage!

 

Benighted

Avec une affiche death comme celle de cette édition s’il fallait retenir un groupe autant aller vers un parangon de brutalité nationale: Benighted, ou comment le brutal deathcore te raconte pourquoi tout est bon dans le cochon!

 


Toutes les infos sont ici http://www.motocultor-festival.com

ou sur l’événement Facebook ici : https://www.facebook.com/events/2444520732540914/

 

Hellfest 2020 : les 10 groupes à ne pas manquer sous la Valley

Comme chaque année le Hellfest a publié son line up étourdissant, avec plus de 150 groupes. Et il y a quelques jours, le festival a confirmé l’ajout de quelques groupes sympas sur l’affiche (Mastodon, Rival Sons…). Même si l’on peut constater un recul du nombre de formations stoner, devant partager sa précieuse Valley avec de plus en plus de styles transverses (et parfois qualitatifs, ne soyons pas fermés), nous avons tenu à mettre en avant 10 formations stoner (ou presque) que l’on vous conseille vivement de voir live durant la grand messe Clissonaise de juin.

 

  • 10/ Electric Wizard (Vendredi) : Nous ne vous ferons pas l’affront de vous présenter Electric Wizard ici, si le groupe vous est inconnu c’est que vous vous êtes perdus. Mais il serait mentir que de dire que toute la discographie du Wizard se vaut, ni de proclamer haut et fort que leurs concerts sont toujours inoubliables. Faudra donc croiser un peu les doigts et espérer de vieux titres et un moment de magie de la part de ces légendes du doom UK.

 

  • 9/ OM (Vendredi) : OM en live ce n’est pas forcement pour tous le monde et les moments de grâce (réels) ont parfois laissé place à de longues plages d’ennui. C’est que le drone du groupe ne peut pas maquiller une éventuelle baisse de régime derrière une avalanche de distorsion. A voir ce qu’il en sera pour ce live au Hellfest.

 

  • 8/ Greenleaf (Vendredi) : Greenleaf en live vous a t’il déjà déçu ? Nous non plus. Alors une bonne dose de pur stoner groovy est à prescrire et ce dès le vendredi. Si quiconque vous dit le contraire, dites que vous avez un mot du médecin.

 

  • 7/The Picturebooks (Samedi) : duo blues percussif et bruyant aux accointances stoner évidentes (en plus de leur débuts chez Riding Easy on sent ici tout le worship des 70’s et cette implacable volonté de faire du boucan), The Picturebooks semble constamment sur la route. Pourtant leurs passages en France sont rares (en dehors de Paris, uniquement deux dates dans l’est en 2017) alors que leurs prestations live sont toujours aussi recommandables.

 

  • 6/Ecstatic Vision (Vendredi) : Drôle de trajectoire que celle d’Ecstatic Vision. En effet le groupe de Philadelphie a tout explosé en 2015 avec Sonic Praise, un album convoquant le meilleur d’Hawkwind et la folie psychédélique plus actuelle d’Earthless. Signature chez Relapse Records, concerts d’anthologie au Roadburn puis un peu de n’importe quoi avant un retour sérieux quoique plus humble chez Heavy Psych Sounds en 2019. Reste que la scène est le meilleur endroit où découvrir Ecstatic Vision, groupe qui n’a d’autre objectif que celui de vous faire décoller.

 

  • 5/ ASG (Vendredi) : 5 ans qu’ASG n’a pas mis les pieds sur le festival. Et 2015 a été leur seule participation (puisqu’ils avaient dû annuler leur venue en 2012). ASG est et semblera toujours être le mal aimé de la scène, celui qui n’aura jamais le petit coup de pouce du destin qui lui fera passer un palier. Et pourtant. Et pourtant que ce soit en live ou sur album, leur musique, à la fois lourde et lumineuse, se rapprochant du meilleur de Red Fang ou du plus mélodique de Mastodon, est d’une qualité exceptionnelle. Il est temps que l’on soit, beaucoup, mais alors BEAUCOUP plus nombreux à se rendre compte du bonheur que c’est d’écouter ASG.

 

  • 4/ Duel (Samedi) : Quelle bande d’impatients ces Texans. Non vraiment. Après avoir sorti un superbe premier album en 2016, accumulations d’idées fourmillants depuis des années, et face à la belle réception critique qu’ils ont reçu, Duel s’est empressé de battre le fer tant qu’il était chaud en publiant deux autres albums (2017 et 2019) qui auraient franchement pu en faire un très bon au lieu de deux corrects. Résultat, la hype qui entourait le groupe est un peu retombée. Reste que leurs meilleurs titres sont ceux qu’ils jouent en concert (le contraire serait absurde) et que leur mixture convoquant autant Pentagram que Thin Lizzy est d’une efficacité redoutable. On tient surement là la révélation du Hellfest 2020 pour les suiveurs moins informés que Desert Rock en matière de stoner rock.

 

  • 3/ Abrahma (Dimanche) : un peu esseulés le dimanche (avec Hangman’s Chair), Abrahma va pouvoir ENFIN montrer au festival de quel doom ils se chauffent. C’est que le groupe, en constante évolution musicale (et délicatesse de line up) a mis du temps (presque 10 ans) à trouver son public. Mais aujourd’hui, fort d’un troisième album poussant à fond les préceptes peu optimistes dictés par Paradise Lost ou Type O Negative, le groupe a de solides arguments à faire valoir et se voit récompensé par quelques dates précieuses en festivals. Un groupe trop rare pour être snobé.

 

  • 2/ Elder (Vendredi) : Elder est le groupe stoner de cette décennie. On est d’ailleurs pas les seuls à le penser, le site The Obelisk leur a d’ailleurs officiellement attribué le titre. Auteurs d’un quasi sans faute que ce soit sur album ou en live, Elder enchante à chaque passage et a, soyons clairs, tous les attributs d’un futur headliner de Valley. Rater leur concert est impensable, d’autant plus qu’ils devraient venir avec sous le bras quelques nouveaux titres issus de leur album à paraître cette année.

 

  • 1/ High On Fire (Samedi) : Un concert de Matt Pike, peu importe le nombre d’orteils en moins, est et restera la meilleure chose qui peut vous arriver dans votre vie. Alors préparez vous à prendre des nions et à en filer.

 

 

 

Bonus : Ce n’est pas stoner mais ça a lieu sous la Valley et ce serait dommage de passer à côté :

  • Envy : Les concerts d’Envy sont parmi les choses les plus fortes qui puissent être vécues. Faites vous une faveur, ne ratez pas ça.
  • Killing Joke : L’un des tout meilleurs groupes de l’histoire, tout simplement.
  • Hangman’s Chair : clairement parti sur d’autres rives que le sludge/doom de leurs débuts, Hangman’s reste aujourd’hui le groupe qui incarne le mieux Paris dans les côtés les plus sombres et dépressifs.

Pour toutes les infos, rendez-vous sur https://www.hellfest.fr/ et abonnez-vous à leur page Facebook : https://www.facebook.com/hellfest

Nouvelle tournée pour MARS RED SKY !

MARS RED SKY n’a pas chômé l’an dernier pour défendre sur les routes son dernier bébé, l’album “The Task Eternal” (l’un des disques de l’année selon nos rédacteurs esthètes du riff – voir ici) On s’en est plusieurs fois fait les témoins, et à chaque fois nous avons été impressionnés (voir nos live report…).

Surfant sur ce franc succès, et avec encore quelques terres à explorer, le trio bordelais remet le couvert… Le TASK ETERNAL TOUR continue et reprend de plus belle dans moins d’un mois pour une série de dates à ne pas rater !

 

 

A suivre donc… et en particulier restez connectés sur Desert-Rock, on aura quelques surprises à vous proposer sous peu dans le cadre de cette tournée…

 

 

Le Top albums de 2019 de Desert-Rock !

Comme chaque début d’année au moment de constituer le top albums de Desert-Rock, la bagarre fut âpre, et les limites de la démocratie vite atteintes pour faire rentrer tous les bons disques écoutés cette année. Forcément, on n’y est pas arrivé, on a dû arrêter le classement aux 15 premiers, alors que notre liste initiale en comptait… plus de 60 !

Ce classement est la synthèse de l’ensemble des avis de l’équipe, reflétant la variété des genres que vous êtes habitués à retrouver chez nous (cliquez sur chacun pour lire la chronique que nous avions publiée dans l’année) :

 

-1) MONKEY 3 – “Sphere”

Vétérans de la scène stoner européenne, les helvètes de Monkey 3 sortent, en 2019, un chef-d’œuvre dans la catégorie instrumentale tirant vers le psychédélisme. Huitième production du quatuor actif depuis 2001 , « Sphere » est remarquable autant que remarqué à la fois par la critique et par le public, proposant exactement ce qu’il faut de plans aériens et précisément le côté burné qui nous fait remuer les cervicales en concert. Prenant ses distances avec sa livraison précédente, Monkey 3 nous a aussi fait vibrer cette année lors de leurs prestations live.

-2) MONOLORD – “No Comfort”

Avec “No Comfort”, Monolord a franchi un cap. Ce quatrième opus, plus technique et aventureux que les précédents, est réussi de bout en bout. Thomas, Mikka et Esben nous offrent un masterpiece de doom qui aura marqué cette année prolifique en grands albums.

-3) GOATESS – “Blood & Wine”

Avec une carrière plus proche de la neurasthénie que de la frénésie scénique et discographique, chaque album des suédois de Goatess est très attendu de la part d’un public de connaisseurs. Le départ de son mythique chanteur Chritus Lindersson (Lord Vicar, Count Raven, St Vitus,…) nous aura bien inquiété, mais Karl Buhre, leur nouveau vocaliste, apporte une intensité et une richesse rafraîchissantes. “Blood & Wine” s’avère être un album de stoner-doom contemporain de haut vol, bien écrit et superbement interprété.

-4) MARS RED SKY – “The Task Eternal”

Rien d’étonnant à voir apparaître le trio bordelais dans notre top annuel : Mars Red Sky maîtrise une fois de plus son sujet et renforce un peu plus son identité et sa place de groupe phare de la scène. Même si cet album nous semble en-deçà de ses aînés, il reste une valeur sûre. S’intégrant parfaitement en live, “The Task Eternal” n’a pas à rougir de sa qualité dans la discographie d’un groupe toujours aussi impressionnant de maîtrise.

-5) STONE FROM THE SKY – “Break a Leg”

Avec des bases bien assimilées, Stone From The Sky a livré un second album riche. Une plaque fine et inventive qui aura su séduire par sa sensibilité. Malgré quelques désordres, l’album Break A Leg confirme qu’il faut désormais  compter sur ce trio pour prolonger la route du heavy psychédélique.

-6) SOLACE – “The Brink”

Après 10 ans de silence absolu, Solace revient sur le devant de la scène avec “The Brink”. Les natifs de Jersey, avec un line-up remanié, n’ont rien perdu de leur verve poétique tendance dirt metal épique et se la jouent “taille patron” avec un album qui ravira les anciens et les plus jeunes.

-7) THE DEVIL AND THE ALMIGHTY BLUES – “Tre”

Une belle année pour le quintette venu du froid, leur album “Tre” et les représentations scéniques qui l’ont suivies l’ont mis en état de grâce. “Tre” est l’album qui démontre s’il en était besoin que le Stoner a des racines profondes et blues et qui s’étendent partout au travers du monde. La simplicité et la rusticité d’un genre au service d’un autre en somme.

-8) THE LUMBERJACK FEEDBACK – “Mere Mortals”

Sans se presser The Lumberjack Feedback a sorti un monstre des cartons. Massif et lourd, sombre et envoûtant, “Mere Mortals” prolonge le savoir faire des lillois aux fûts dédoublés. Un album rentré et pesant qui agit sur le cortex comme le mal d’une époque dans laquelle il fait malgré tout bon vivre.

-9) YEAR OF THE COBRA – “Ash & Dust”

Ils ne sont que deux (monsieur à la batterie, madame à la basse et au chant) mais quelle maîtrise ! “Ash & Dust” démontre tout le savoir-faire de Year of the Goat en matière de doom psychédélique. Intense, prenant et sacrément bandant!

-10) NIGHTSTALKER – “Great Hallucinations”

Les Papis font de la résistance. Il est presque surprenant de retrouver les Grecs de Nighstalker dans le top de la rédaction qui n’est pas unanime sur le sujet. Mais parfois il faut faire acte d’humilité et s’incliner devant les artistes dont la carrière se poursuit avec logique. “Great Hallucinations” est de ce tonneau, inscrivant le quartet dans une continuité mélancolique mais toujours vivace.

-11) THE GRAND MAL – “The Grand Mal”

La moitié des nerveux anglais de Desert Storm s’est associée à la moitié de Mother Corona, des potes de Bristol, pour monter ce projet sans prétention… qui aura pris pas mal de monde par surprise ! Proposant une dizaine de brulots d’un stoner classique qui sent bon le sable chaud et les riffs inspirés, les anglais placent leur galette dans la catégorie des albums stoner les plus inspirés depuis… un paquet d’années !

-12) LIGHTNING BORN – “Lightning Born”

On n’imaginait pas vraiment ainsi le nouveau projet de Mike Dean, le bassiste de Corrosion of Conformity… mais on n’aura pas été déçus ! Dean trouve humblement sa place dans le line-up de ce groupe américain, proposant un proto-rock old school très inspiré – quelque chose de finalement assez rare dans ce genre musical. Leur premier album propose 11 titres inspirés et variés, portés par le chant puissant de leur chanteuse Brenna Leath, qui participe à distinguer Lightning Born des autres groupes du genre.

-13) NEBULA – “Holy Shit”

Reformé en 2017 pour le plus grand plaisir de la sphère stoner, Nebula s’offre sans surprise une place dans ce classement grâce à “Holy Shit”, l’album de leur résurrection, issu comme ses aînés d’un moule énervé, nuancé de nombreux solos psychés et maquillé d’un fard bien garage. Un retour en force des Californiens qui savent également proposer une nouveauté tant surprenante que rafraîchissante. Tout ce qui siéra à un dépoussiérage d’oreilles en bonne et due forme.

-14) VALLEY OF THE SUN – “Old Gods”

Une plaque plus loin, Valley Of The Sun assied son savoir faire et s’en va le répandre à travers le monde. Pour autant “Old Gods” n’est pas une pure redite, c’est l’album qui se veut charnière entre jeunesse et maturité. Et oui, les gars ont vieilli et se la jouent plus lents mais aussi plus denses. Cependant attention, il y a quelques claques sur cet album justifiant donc pleinement sa place ici .

-15) LO-PAN – “Subtle”

Cinquième album en moins de quinze ans de carrière pour le groupe de Columbus, Ohio, “Subtle” montre le quatuor américain au top de sa forme et de son inspiration. Porté par le chant emblématique de Jeff Martin et les riffs nerveux du nouveau guitariste Chris Thompson, le disque propose une poignée de compos remarquables, qui ont constitué l’essentiel des set lists du groupe sur leur tournée européenne cette année – tournée qui aura fini de convaincre un paquet de monde.

 

On a arrêté le compteur aux 15 premiers, mais des albums superbes étaient juste derrière : The Elephant, Saint Karloff, Sunn O))), Gaupa, Esoteric, Duel, Kadavar, Luna Sol, Elder, etc… Même si 2019 n’a pas amené autant de “gros morceaux” que 2018 (Sleep, Fu Manchu, Clutch, High on Fire, Yob, etc…) elle a permis a beaucoup de groupes de se distinguer et de prendre un peu de place au soleil ! Une année riche en découvertes, en surprises et en révélations…

Si 2020 propose au moins autant de bons disques, on devrait être pas mal…

HELLFEST 2020 : l’affiche de la Valley dévoilée !

Ca y est, plus de 6 mois avant le Hellfest 2020 (qui se tiendra les 19-20-21 jun 2020 à Clisson), l’affiche complète de la Valley est annoncée !

Comme d’habitude, un mélange de surprises, de révélations, de valeurs sûres, de découvertes… De quoi passer 3 jours palpitants à l’ombre de notre chère tente !

        • Electric Wizard
        • Om
        • Witchcraft
        • High On Fire
        • Elder
        • Pelican
        • Baroness
        • Envy
        • Killing Joke
        • John Garcia & the Band of Gold
        • Hangman’s Chair
        • Greenleaf
        • Mono & the Jo Quail Quartet
        • Duel
        • Abrahma
        • Black Mountain
        • ASG
        • Perturbator
        • Life of Agony
        • Ecstatic Vision
        • Inter Arma
        • Twin Temple
        • The PictureBooks
        • Point Mort
        • 3 Teeth
        • Lysistrata
        • Me and That Man

 

What’s in the Woods – Nouveau festival stoner à Bordeaux !

Les 25 et 26 octobre à Bègles (en bordure de Bordeaux) se tiendra un petit festoche assez enthousiasmant pour qui, comme nous, est persuadé que la France a un incroyable talent ! (… désolé…)

Le What’s in the Woods (sous-titré “Burdigala Stoner festival vol.1”) s’est donc monté ces derniers mois à l’initiative d’une poignée d’activistes passionnés, conscients de la qualité des groupes français gravitant autour du stoner. Ces esthètes ont donc sélectionné 4 groupes par jour, entre découvertes et valeurs sûres, dans toutes les nuances de la sphère stoner / psyche :

  • Le vendredi : Wizard Must Die, Ethili, Orotoro et Stronger Than Arnold.
  • Le samedi : Little Jimi, Djiin, Wormsand et Spell Shelter.

Pour agrémenter le tout et donner du liant à l’événement, des stands (disques, etc…), un DJ set et des expositions (dont l’infâme Jo Riou !) sont prévus. Nourriture et breuvages seront évidemment disponibles pour profiter dans les meilleures conditions de l’événement.

Deux soirées garanties pures bûches et bonheur auditif et festif, donc, le tout pour 12€ seulement (si si, rapport qualité-prix imbattable).

Pour en savoir plus :

Nous on y sera en tout cas et on espère vous y retrouver en nombre… Parlez-en autour de vous !

VIDEO exclu : FU MANCHU “Laserbl’ast !” Live @ Hellfest 2019

VIDEO exclu : FU MANCHU “Laserbl’ast !” Live @ Hellfest 2019

 

VIDEO exclu : MANTAR “Cross the Cross” Live @ Hellfest 2019

VIDEO exclu : MANTAR “Cross the Cross” Live @ Hellfest 2019

 

VIDEO exclu : ACID KING “Free” Live @ Hellfest 2019

VIDEO exclu : ACID KING “Free” Live @ Hellfest 2019

 

SATURDAY MUD FEVER 2019: Monolord, Year Of The Cobra, Black Willows…

 

Lorsque trois associations activistes du son distordu unissent leurs efforts pour un concert aux allures de festival, cela donne Saturday Mud Fever, un concert qui promet de maltraiter les influx électriques. Almost Famous, Fauchage Collectif et Fuzzoraptors proposent donc pour 22 euros la soirée, rien de moins que :

 

Monolord, trio empruntant à Nirvana sa formule du riff joué son clair puis distordu, usant du stratagème jusqu’à la gloire et dont le 4ème album sort en septembre.

Year Of The Cobra, duo basse/batterie qui prend Mötorhead, le baigne dans l’acide et en fait du stoner/sludgy et que l’on vous conseille vivement.

Black Willows : trop rare groupe suisse, risque de vous faire fondre le cerveau avec leur son hypnotisant et particulièrement puissant.

Formé sur les cendres de Galvano, Firebreather est un nouveau venu et c’est le moment de découvrir tout ça sur scène.

 

Ces réjouissances se tiendront le 05 Octobre 2019 à Paris au FGO Barbara, préventes et infos ici : https://www.weezevent.com/saturday-mud-fever?fbclid=IwAR3PIjDC3UmWD_DjiXqFnURM2dInWRslJE5C0mHfzWz_tLyfUY1M5M5bBVk

 

 

VIDEO exclu : YOB “Unmask the Spectre” Live @ Hellfest 2019

VIDEO exclu : YOB “Unmask the Spectre” Live @ Hellfest 2019

 

VIDEO exclu : MANTAR “Into the Golden Abyss” Live @ Hellfest 2019

VIDEO exclu : MANTAR “Into the Golden Abyss” Live @ Hellfest 2019

 

VIDEO exclu : FU MANCHU ”King of the Road” Live @ Hellfest 2019

FU MANCHU “King of the Road” Live @ Hellfest 2019

 

Sleep + Pharaoh Overlord au Bataclan le 8 octobre

Il est parfois important de rappeler en ces temps où la force stoner rock est troublée par l’arrivée de jeunes hippies considérant que Red Fang ou Kadavar sont l’an 1 du genre, que Sleep est un des piliers (des trois ou quatre piliers, selon si on ajoute Fu Manchu) du genre. Un indispensable, un indissociable, une légende vivante encore active et encore pertinente, ce qui n’est pas loin d’être unique. Le trio de San José a publié des albums essentiels, ayant poussé le genre jusqu’à ses ultimes retranchements avec Dopesmoker, une pièce si intense, si grandiose qu’il aura fallu attendre 18 ans entre son enregistrement et sa publication, le temps que les mœurs autorisent une telle chose. Et Sleep, groupe que l’on croyait disparu dans les limbes de l’éternité, ayant donné naissance à deux entités Némésis (OM et High On Fire) a fini par se reformer. Comme la plupart des groupes de l’époque me diriez vous ? Oui. Sauf que la pertinence de leur album The Sciences, publié en 2018 et la force émotionnelle de leurs concerts rappellent encore une fois que Sleep n’est pas « Comme les autres ». Mais que les autres n’existent seulement et uniquement parce que Sleep a un jour explosé les carcans de la musique sous accordée.

La première partie de ce concert est aussi immanquable, Sleep s’étant adjoint les services de Pharaoh Overlord, quintet suédois expérimental, presque robotique, ayant publié un ziliard d’albums depuis leur création en 2000 et ne se faisant que trop rare sur scène, endroit où pourtant ils excellent. Ceux présent lors de leur apparition au Roadburn 2011 peuvent en témoigner. Oublié des line up des DesertFest (même cette année à Anvers alors que Sleep y joue, ce qui constitue une sorte de scandale), Pharaoh Overlord foulera une scène française pour la première fois, et ce sera donc un moment d’histoire, dans une salle qui en est chargée.

Prenez vos places avant qu’il n’y en ait plus (ou que les mecs de Metallica les revendent plus cher au marché noir) ici : https://web.digitick.com/sleep-concert-le-bataclan-paris-08-octobre-2019-css5-myfavorite-pg101-ri6208771.html

Toutes les infos dans l’événement facebook : https://www.facebook.com/events/274312573504334/

DESERTFEST Belgium 2019 : Sleep et compagnie

Octobre arrive à grands pas et, avec lui, évidemment, les festoches et le fameux Desertfest Anvers qui régale les amateurs de grosses bûches depuis 2014…

Cette année, le fest se déroule du 18 au 20 octobre et propose une affiche plus qu’alléchante : les mythiques Sleep seront de la partie, tout comme les suisses de Zeal & Ardor (l’une des grandes attractions du moment) ou encore Ty Segall & the Freedom band et leur garage blues rock d’une efficacité redoutable. Outre ces 3 headliners, les chanceux qui ont déjà leur pass 3 jours (désolé, tout est vendu mais le fest va mettre en vente des pass 1 jour pour les retardataires) pourront se délecter de The Obsessed (en espérant que la bande à Wino ne fasse faux bond à personne cette fois-ci…), Truckfighters (dans la foulée de leur passage à Paris et Nantes), Nebula (fort d’un Holy shit qui se doit de tourner sur toutes les bonnes platines), ASG, Eyehategod, Pelican, Bongripper, Toundra, Church of Misery, Lo-pan, Monkey3 et bien d’autres encore… Et dire que la programmation doit encore s’étoffer de quelques noms ! A noter, 6 groupes belges seront à l’honneur dont Grotto ou encore 30.000 monkies…

Bref, vivement cet automne et, bien évidemment, nous y serons pour 3 jours de trip au Trix!

http://www.desertfest.be/

https://www.facebook.com/events/2260579413999993/

 

Video Premiere : UFOMAMMUT en acoustique pour son 20ème anniversaire !

A l’occasion de son 20ème anniversaire, les italiens de UFOMAMMUT préparent la sortie d’un coffret spécial, sobrement intitulé XX, prévu le 9 septembre sur le label du groupe, Supernatural Cat.

Le concert ci-dessous a été enregistré le 5 avril 2019 au Gaswerk de Winterthur (Suisse), sa version audio fera partie des cadeaux proposés dans ce coffret. Vous y trouverez 6 titres clés couvrant toute la carrière du groupe, complètement revisités en version électro-acoustique, vous verrez c’est bluffant :

 

Le coffret sera disponible en format Vinyl ou CD, et proposera en premier lieu l’intégrale des 8 albums du groupe (avec des pochettes inédites), le disque XX contenant les six chansons du live ci-dessus ré-interprétées et ré-arrangées, mais aussi un gros livret de 64 pages (photos, artwork, paroles…), un poster, un backpatch, un sticker

Pour vous offrir ce beau cadeau d’anniversaire, les pré-commandes sont ouvertes ici : https://ufomammut.8merch.com/

Ce 20ème anniversaire pour l’un des groupes de stoner doom les plus intéressants de ces dernières années sera aussi l’occasion de parcourir l’Europe en long et en large cette année :

  • 5/30/2019 Dunk! Festival – Zottegem, BE
  • 9/11/2019 Aglomerat – Moscow, RU
  • 9/12/2019 MOD – St. Petersburg, RU
  • 9/26/2019 Le Fil – Saint Etienne, FR
  • 9/27/2019 Petit Bain – Paris, FR
  • 9/28/2019 The Garage – London, UK
  • 9/29/2019 Magasin 4 – Brussels, BE
  • 9/30/2019 Melkweg – Amsterdam, NL
  • 10/02/2019 Vega – Copenhagen, DK
  • 10/03/2019 Sticky Fingers – Göteborg, SE
  • 10/04/2019 Høstsabbat – Oslo, NO
  • 10/05/2019 Plan B – Malmö, SE
  • 10/06/2019 Debaser – Stockholm, SE
  • 10/08/2019 On The Rocks – Helsinki, FI
  • 10/09/2019 Von Krahl – Tallinn, ES
  • 10/10/2019 Melna Piektdiena – Riga, LV
  • 10/11/2019 Narauti – Vilnius, LT
  • 10/12/2019 Hydrozagadka – Warsaw, PL
  • 10/13/2019 Zet Pe Te – Krakow, PL
  • 10/15/2019 Rockhouse – Salzburg, AT
  • 10/16/2019 Mochvara – Zagreb, HR

HELLFEST 2019 : les video-report des 3 jours de festival sous la Valley…

HELLFEST 2019 : les video-report des 3 jours de festival sous la Valley… et quelques autres scènes !

 

En attendant les live report détaillés et les photos…

Video exclu BLACK TUSK “Vulture’s Eye” – live @ Desertfest Berlin 2019

Video exclu BLACK TUSK “Vulture’s Eye” – live @ Desertfest Berlin 2019

 

Rock in Bourlon : Corrosion of Conformity, All Them Witches,…

Chaque année, alors que la dépression post-Hellfest s’empare de tous les habitués de la Valley, le Rock in Bourlon (dans le 62) vient raviver la flamme le week-end suivant. Grâce à une équipe de passionnés et un talent d’orfèvre dès lors qu’il s’agit de constituer une prog aux petits oignons, le festival est désormais chaque année un incontournable.

Et ce n’est pas cette année que ça va changer ! Les 28 & 29 juin, le festival accueillera rien moins que Corrosion of Conformity (avec Pepper Keenan oui !), All Them Witches, Whores, Bo Ningen, Toner Low, Arabrot, , Duel, etc… 2 jours de festival en open air et GRATUIT (prix libre), bonne ambiance, bouffe, bière artisanale, expos, etc…

Toutes les infos à partir de l’événement Facebook : https://www.facebook.com/events/573557853040378/

Ou sur leur page web : https://www.rockinbourlon.com/

Vous pourrez aussi décider de vous impliquer plus dans l’opération : il est encore temps pour participer en tant que bénévole à cette super expérience ! (infos ici : http://bit.ly/2C41tz2)

 

1 commentaire

Video exclu FU MANCHU “Cyclone Launch” – live @ Desertfest Berlin 2019

Video exclu FU MANCHU “Cyclone Launch” – live @ Desertfest Berlin 2019

 

  • Ben { Merci pour toutes ces découvertes musicale. Vous faites un super travail ! }
  • Rico { Merci pour les découvertes de cette année et de nous tenir au courant de cette actualité ! Mon n°1, Elder, album superbe après une grosse... }
  • Astroman { Merci à l'équipe pour tout ce partage au long de l'année, continuez ! }
  • didier ribes { alors si Spidergawd n'est pas du stoner ou proche du mouvement que fait Vintage Caravan dans les chroniques d'album ? }
  • Laurent { @didier ribes : pas grand chose à voir avec le stoner, si ? }
  • didier ribes { comment pouvez vous oublier de citer le dernier album de Spidergawd ???? }
Se connecter